Lectures d’images et débats
Une autre vision du Mexique
Images du Pôle, jeudi 21 octobre à 20h30.
Rétrospective de l’œuvre photographique de Francisco Mata Rosas. Cette projection sera l’occasion, en présence de l’artiste, d’évoquer la diversité de son parcours (reportage, mode, photographie expérimentale) et les aspects multiculturels de ce pays.
Le Mexique, une histoire photographique !
Vendredi 22 octobre à 20h30, Images du Pôle.

« Histoire de la photographie mexicaine »
Letitia Clouthier, sous directeur de l’institut du Mexique de Paris, proposera grâce à une série d’images un parcours historique des principales figures de la photographie mexicaine : Manuel Alvarez Bravo, Hector Garcia, Antonio Cruz et le fonds photographique « Casa Sola ».

« Luna Cornéa »
Traversée d’une des principales revues mexicaines consacrées à la photographie moderne et contemporaine.
Cette projection abordera quelques-uns des thèmes développés au fil des numéros. (Le catch, le cinéma, le voyage, les musées, l’intimité, l’identité et la mémoire, la nuit, la zoographie)…
Fronteras
Samedi 23 octobre à 20h30, Images du Pôle.
« La linéa »

Pavka Segura parcourt les zones frontalières du nord du Mexique. Sur plus de 2000 km, il a photographié en noir et blanc la vie nocturne dans plusieurs villes comme Tijuana, Tecate, Mexicali, Sonoita, Nogales qui sont aussi des territoires de transit où la vie ou se déroule de façon informelle.
« Mala Noche »
Antoine d’Agata, livre à travers ses photographies un compte-rendu de ses errances de nuits, dans les bars de la zone frontière entre les États-Unis et le Mexique.
« Creencias »
Rediffusion de la projection multimédias de Maruch Santiz Gomez présentée a la Médiathèque.
« El fin del silencio »

Antonio Turok, grand photographe mexicain, photographie le Chiapas depuis de nombreuses années. Avec ce travail documentaire, il nous invite à dépasser les clivages politiques et socio-économiques qui traverse cet Etat fédéral aux richesses insoupçonnées et fortement convoitées. En premier lieu Antonio Turok photographie avec une très forte humanité les gens de ce pays agraire mais aussi les enfants, les cérémonies religieuses car ils sont porteurs d’une culture indienne en plein métissage. Son travail loin d’une forme de misérabilisme reste en même temps profondément critique à l’égard de cet état en pleine évolution politique.
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